April Summers

Nom : Summers
Prénom(s) : April
Âge : 18 ans


Groupe: Chef des popular'Girl

Son secret : Elle a tué récemment son petit ami, elle ne s’en est jamais remit. Elle a tué également son beau-père qui la battait. April est claustrophobe.




Caractère : Alors que tout le monde peut compter sur elle comme sur une personne généreuse et serviable, elle n'ose pas se confier à quelqu'un, qu'il s'agisse d'un de ses proches parents ou de ses amis intimes. Lorsqu'elle a de la peine ou des problèmes, elle préfère souffrir en silence et chercher toute seule ses solutions. On peut toujours compter sur elle. C'est une amie sûre et fidèle, une personne dont la loyauté est à toute épreuve. Faisant constamment preuve de discrétion, elle sait inspirer la confiance, d'autant plus qu'elle n'a qu'une parole. Elle attire naturellement les confidences et sait les garder. N'essayez pas de lui faire révéler les secrets des autres qu'elle détient, car ce serait peine perdue. April possède en général beaucoup de charme auquel on aurait du mal à résister. Sa personnalité est séduisante.



Description physique : Bien à elle, April est d'une beauté délicate et fragile. Elle a un aspect mystérieux, mais cet aspect est tellement attirant. Ses gestes sont remplis d'une énorme douceur. On peut croire en la voyant qu'April donne l’impression de manquer de force physique, de vigueur par son aspect délicat, mais cela est faux, ne la sous-estimer pas.

Visage : April Summers n’a pas un visage ni trop rond, ni trop ovale. Sa peau n'est pas trop blanchâtre. Deux pommettes rosées sont à chaque extrémité de son doux sourire. Elle a un petit nez parfaitement centré au milieu de son doux visage.

Cheveux : Elle a une chevelure blonde comme sa mère Annabelle. Ils descendent jusqu’à ses côtes en ondulant. Ils tourbillonnent quand elle les laisse lousse se qui est la plupart du temps.

Yeux : April a de jolis yeux bleus, charmants qui la trahissent quand elle cache des secrets ou tout simplement quand elle cache ses sentiments.

Corps : Elle est mince et élancée. Elle est quand même petite pour son âge, mais cela ne veut rien dire.





Résumé :




Cher journal,


Je m’appelle April Summers et je vais vous raconté ma vie dans les moindres détailles.



Le 9 juin 1994 :


- Madame et monsieur Summers, je suis sincèrement désoler, mais pendant l’accouchement, nous avons eu quelques problèmes. Votre petite fille n’a pas pu survivre. Je suis navré.

- Comment ça, non ! Elle ne peut pas mourir, c’est mon bébé, mon bébé ! Je voulais l’appeler April !

- Madame Summers, on allait vous perde vous et votre bébé. Son cœur à cesser de battre quand nous l’avons sorti de votre ventre. Elle était trop petite, elle n’était pas encore prête à voir le jour, je suis sincèrement navré.

- Noooooon !

- Chut calme-toi chérie !

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Hors de la chambre :


- Alors docteur, ils vous ont cru ?

- Oui, Oui, mais pourquoi vous avez fait sa, vous savez que cette enfant ne connaitra jamais ces parents ? Et vous êtes qui pour décider de la faire adopter à leur place ?

- Et bien, je suis la grand-mère de ce bébé. Ma fille chérie, Annabelle Summers est trop jeune pour élevé cette gosse, à 18 ans ! Non, c’est pour son bien que j’ai voulu que vous leur mentiez sur son sujet ! Maintenant, donner moi les papiers à signé pour la mettre en adoption.


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Le 29 juillet 1999 :


Ça fait déjà six ans que j’habitais avec mes parents adoptifs, seulement, je ne savais pas que se n’était pas mes vrais parents, pas encore. Le 29 juillet, nous allions au restaurant pour me récompenser d’avoir eu un A+ dans mon bulletin. Je dessinais des jolies fleurs quand j’entendis ma mère crier à mon père :


- Chéri, attention !


Après, tout se passa extrêmement vite. La voiture percuta une autre voiture avant de faire à peu près cinq tonneaux. J’avais peur, vraiment peur. Quand la voiture s’immobilisa, je commençai à pleurer, mon bras me faisait extrêmement mal, je ne pouvais plus le bouger. Ma mère réussit à sortir de la voiture qui était vraiment mal en point, elle me sortit de mon siège et elle me déposa à terre. Les ambulances arrivèrent vite après. Ils m’emmenèrent moi et mon père dans leur camion rouge.

À l’hôpital, les médecins était extrêmement gentils avec moi. Après qu’il met mit le bras dans un plâtre, ils m’annoncèrent à moi et ma mère que mon père venait de mourir, en faite, il était mort lorsque l’auto avait percuté l’autre auto. J’étais très triste, mais au moins, il me restait ma mère. Je ne savais pas encore que je la perdrais, elle aussi.

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Le 13 décembre 2003 :

Ma mère m’avait présenté son nouveau petit ami, Marc. Je ne vous fais pas de surprise quand je vous dis que j’ai était longtemps frustré contre ma mère et j’avais raison, plus tard, quand mon beau-père revenait d’un bar et qu’il revenait saoul, il nous battait moi et ma mère. Au moins, sa ne durais pas une éternité, sa ne duré même pas dix secondes. Je ne sais pas pourquoi elle continuait à l’aimer, mais bon !

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Le 10 janvier 2004 :


J’avais seulement quinze ans, pas encore majeur pour habité toute seule. Ma mère venait de m’apprendre qu’elle avait le cancer qui était au stade cinq. Elle m’apprit qu’elle allait bientôt mourir et ces seulement trois semaines plus tard qu’elle avait décédé. Mais avant de mourir, elle m’avait apprit que j’ai étais adopté, qu’ils n’étaient pas mes vrais parents. Ça m’avait fait tout un choc, je me rappelle. J’ai cherché pendant longtemps mes parents biologiques, mais bon, je me disais que ça ne se trouvais pas en un claquement de doigt, non ?

Maintenant, à cause de son décès, j’étais prise avec mon beau-père qui me battait parfois.


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Le 16 janvier :

Mon beau-père venait de garé sa boite à conserve dans le garage. Il était encore saoul, se qui signifiait qu’il allait me battre pendant au moins quelques secondes. J’étais vraiment tanné d’être si invulnérable quand il était là, devant moi en train de me frapper. Alors, j’avais décidé d’aller chercher le fusil, dans le troisième garde mangé dans la cuisine. Vous vous demandez surement pour il y avait un fusil cacher dans un tiroir non ? Et bien, vous voyez, il était pris avec une sale gosse qu’il n’appréciait pas tellement, sa femme venait de mourir, alors, il pensait souvent à se suicider, mais bon, il ne l’avait pas encore fait. Bref, je pris le pistolet et quand il rentra, près à me gifler comme les autres fois, je brandis mon fusil devant lui et pesa sur la détente. En tout, il y avait dans son corps trois balles. Je n’avais plus à m’inquiéter sur son sujet, il était désormais mort. Pour ne pas laisser de trace, je fis brûler la maison, qui était sois dis en passant, un vrai trou à rat.

Quelques jours plus tard, je me fis adopter par une autre famille, cette fois ci, j’étais sur que c’était la bonne et j’avais raison.


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Le 25 février 2004, pendant une fête :



Mon école faisait un genre de bal, comme le bal de la dernière année en secondaire. Mon petit ami était venu me chercher chez moi, dans ma deuxième famille d’accueil. Nous avons dansé longtemps là-bas, à l’école. Il était quand même tard quand j’avais décidé de rentré chez moi. Mon amoureux décida de me rapporter chez moi. Mais je voulais conduire, sauf que je n’avais pas mon permis, mais bon. Il accepta mon offre et je me retrouvais derrière le volant. Je conduisais très bien, enfin moi je trouvais. Bref, j’avais mit de la musique, pas trop forte pour ne pas me déconcentré et je parlais en même temps à mon copain. Je fus déconcentré pendant deux secondes. Ces deux secondes furent asser longue pour que je dérape sur la glace et que l’auto aille dans l’autre voit, la vois qui était du sens contraire. L’auto fut percutée par un camion poubelle. Se moment me rappela l’accident avec mes parents.

Je me réveillai à l’hôpital, j’étais tombée dans un coma qui avait duré trois jours. La première chose que je réussi à dire était :

- Ou est Alex ? Il va bien ?

Un médecin m’apprit qu’il était mort. C’était de ma faute, j’avais juste à ne pas conduire, non, j’avais juste à ne pas lui parler et être concentré. Tout était de ma faute, j’étais une vraie machine à malheur.

Pendant plusieurs jours, je mets laissé mourir, trop triste d’avoir perdu mon amoureux que j’adorais plus que tout. Je ne mangeais pas, se qui déclencha une anorexie, je restais là, devant la fenêtre à regarder le vide. Une chance, mes amies étaient là. Elles m’aidèrent à ne plus me laisser mourir. Ce que je me faisais, c’était comme un suicide, sauf qu’il était plus long.


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Aujourd’hui :


Aujourd’hui, grâce à mes amies, je ne suis plus anorexique et je ne me laisse plus mourir. Ma famille adoptive et moi avons déménagé à San Diego dans une petite ville nommé Pacific Bay. Mes parents mon inscrit dans une école qui s’appelle California High. Dès que je suis arrivé, j’ai était tout de suite une des plus populaires de l’école. Je fais partit maintenant, des filles les plus populaires. Je fais partit des pom-pom girl et j’en suis fier. Je ne parle pas tellement de ma vie, je dis juste que j’ai déménagé avec mes parents adoptifs. Je ne dis aucuns autres détails. J’espère au plus au point que personnes ne découvrira ma vie, mais il y a surement une fouine qui va le découvrir.





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Je m'auto accepte ! xD