Nom: Xianjiang (mais originalement Feng)
Prénom: Shu Quian Ni (mais préfère qu’on l’appelle par son 1er prénom)
Surnom: Shu (se prononce chou), « Ma petite Ni » (uniquement par sa mère)
Taille: 1m72
Poid: 63 kilos (toute mouillée x) )
Cheveux: Brun foncé-Noir de jais (sous le soleil ils prennent une teinte un peu plus clair)
Yeux: D’un brun très foncé voire noir, on les compare souvent à l’obsidienne.
Âge: 18 ans
Sexe: Féminin
Lieu de naissance: Fuzhou dans la région de Fujian en Chine.
Secret: Son père est en prison et elle et sa mère font parties du « programme de protection des témoins ».
Groupe: (Se serait possible les popular’s girl ? Sinon j’ai pas d’idée ^^ »)
Nom de l'acteur/actrice que vous avez pris : Zhang Ziyi
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Caractéristiques Psychologiques :
Shu est d’un naturel jovial, le sourire toujours aux lèvres même lors de situations délicates et est toujours prompte au rire et aux taquineries. Calme de nature, il lui arrive tout de même d’être hyperactive par moment (surtout quand elle est stressée). Bien qu’elle soit tolérante, cette jeune femme n’a pas sa langue dans sa poche et ne se retient pas de dire les choses telles qu’elle les pense pouvant faire passer cela pour de l’irrespect envers son interlocuteur , ce qui n’est pas le cas, car en contrepartie, Shu ne dira rien pour se défendre si on lui fait une réflexion (mais il faut que cette réflexion soit censée, sinon elle répliquera).
Shu est donc une jeune fille avec laquelle il est facile de sympathiser. Elle s’avère être une épaule solide pour ses amis et essaiera toujours de venir en aide aux autres, que se soit pour les consoler ou pour leur donner un coup de main quelconque. Elle aime écouter les autres, mais elle n’aime pas se confier elle-même. Il faudra vraiment s’obstiner pour la faire parler sur elle-même.
Il est rare de la voir en colère, mais comme tout le monde, il y a une limite à ne pas dépasser et des défauts qui l’irritent vite. Par exemple elle n’aime pas les messes basses, les filles trop superficielles, et les gens qui se permettent de faire des réflexions alors qu’ils ne sont pas mieux, peuvent aussi l’énerver assez vite.
Un sujet à éviter avec elle, son père… De toute manière dès que le sujet tend vers lui, elle prend la tangente et le dévie subtilement.
Il est aussi à noter que Shu est très proche de sa mère et de sa tante. En les voyant on pourrait presque les prendre pour trois sœurs.
Caractéristiques Physiques:
Quand on voit Shu, il est difficile de ne pas se dire « Elle, elle est d’origine asiatique ! ». Bien que grande pour une chinoise, Shu a tous les autres attributs des personnes de son pays d’origine. Des cheveux longs foncés, brillant et aussi doux que la soie, des yeux bridés d’une couleur aussi foncée que celle de ses cheveux qui brillent constemment de malice, et une peau pâle, mais sans être blanche. D’une carrure fine et longiligne avec ses longues jambes, elle à tout ce qu’il faut là où il faut. Elle a un maintient bien droit et ses doux traits du visage lui donne une élégance innée et la fait rentrée dans la catégorie des « belles » filles (entre « », parce que les critères changent selon les personnes :p ).
Côté vestimentaire, Shu porte tout de bon cœur. Des fois vous la verrez habillée « normalement » d’autres fois de manière plus élégantes… Sa coupe de cheveux peut varier aussi. En générale elle les laisse au naturel, à savoir détachés et légèrement ondulés, mais il arrive souvent qu’ils soient raides quelques jours ou qu’il soient coiffés en une coupe assez complexe. Pas que Shu aime perdre son temps avec ses cheveux (loin de là), mais cela à un rapport avec son « p’tit boulot ». (voir histoire ^^)
Shu quand elle s'habille "normalement"
Shu au "naturel"
Histoire :
Shu est née en Chine un certain 13 Avril. Elle est la fille d’une grande photographe de mode et d’un grand entrepreneur chinois, on ne peut donc pas dire qu’elle ai connu la pauvreté. Shu ne peux pas se plaindre de sa petite enfance et de son enfance, du moins jusqu’à ses 6 ans.
Dès le début, Shu avait une large préférence pour sa mère et celle-ci le lui rendait bien. Le père de la petite, trop prit part son travail n’était que rarement présent dans la grande maison qu’ils habitaient, qui plus est qu’il n’était pas très heureux que son enfant premier né soit une fille. Si ça n’avait tenu qu’à lui, il aurait de suite demandé l’avortement ou fait disparaître le bébé d’une quelconque façon que se soit, mais à cette époque il avait encore assez d’amour envers sa femme pour lui permettre de garder l’enfant qu’elle portait. S’il n’y avait pas les cuisiniers, les jardiniers, les femmes de ménages, etc. Cette maison aurait été bien vide… Le père de Shu ne voulait pas qu’elle aille à l’école, la petite eut donc droit à des cours particuliers chez elle. L’enseignement qui lui fut donné, fut rude, son père sachant déjà ce qu’il voulait faire de sa fille.
Ce sujet fut souvent le début de grandes querelles entre la mère et le père de Shu et lorsqu’elle eut 6 ans, ces dernières étaient tellement fréquentes et véhémentes que la petite avait peur que ses parents n’en viennent aux mains… Mais rien de cela se passa. Du jour au lendemain, leur belle vie avait reprit son cours, sans que ni Shu, ni sa mère ne comprennent l’attitude soudainement sympathique de l’homme de la maison.
Les années passèrent et Shu grandit et devint une belle jeune fille. Sa tante (du côté de sa mère), avait réussit elle aussi à percer dans le domaine de la mode et était reconnue en Chine comme étant une grande styliste. Elle aimait beaucoup confectionner des vêtements pour sa nièce et cette dernière était sa première fan et ne rechignait jamais quand, elle et sa mère organisait des « défilés » à la maison où Shu était le premier modèle.
Devant un réel engouement face à ses créations, la tante de Shu s’en alla pour Los Angeles , faisant ainsi connaître son talent de l’autre côté de l’océan. Shu avait 15 ans. Au départ, la tante de Shu voulait partir avec elle et sa mère. Les relations avec le père de la jeune fille s’étaient à nouveau dégradées et elle et sa mère sentait qu’il leur cachait quelque chose qu’elles n’aimeraient surement pas entendre. De ce fait, la tante de Shu poussait sa mère à demander le divorce et à aller faire sa vie avec elle à Los Angeles , mais la mère de la jeune fille ne put s’y résoudre et elles restèrent toutes deux auprès du père de famille.
Leur vie changea du tout au tout, il y a à peine quelques semaines. Elles avaient prévues de passer un week- end au bord de la mer, mais elles se rendirent compte d’un grand oubli et firent alors demi-tour. La mère et la fille tombèrent sur une scène assez marquante. A peine eurent-elles ouvert la porte, qu’un groupe d’une dizaine d’hommes habillés en costumes noirs se retournèrent vers elles. Un autre hommes était ligoté sur une chaise, couverts de blessures, il n’était vraiment pas beau à voir et on ne pouvait même pas l’identifier tellement sa figure était amochée.
Sur la table se trouvaient deux mallettes, l’une remplie de billets, l’autre de petits sacs remplis d’une substance poudreuse blanche. Il ne fallut pas longtemps pour comprendre la situation. En un même geste Shu et sa mère refermèrent la porte et coururent pour rejoindre la voiture et s’enfuir. Elles entendirent des cris et des ordres et la porte se rouvrit violemment, puis les coups de feu fusèrent.
Elles atteignirent la voiture mais la mère de Shu s’effondra, touchée au flanc droit par une balle. La jeune fille accouru pour l’aider à se relever mais s’était trop tard, son père était déjà tout proche, son arme fumante, preuve qu’il était l’auteur du tir. Shu ressenti alors une grande colère s’emparer d’elle mais elle avait trop peur de l’état de sa mère et de la suite des évènements pour réagir face à cet acte immonde. Elle le vit brandir à nouveau son arme, cette fois-ci vers elle et elle ferma les yeux attendant le coups de feu. Mais ce dernier ne vint pas. Elle entendit un bruit sourd puis à nouveau une série de cris et en rouvrant les yeux elle vit un inconnu, portant une combinaison bizarre toute noire. Elle sentie alors qu’on l’agrippait. Un autre homme avec la même combinaison venait de la soulever. Elle se débattit mais voyant qu’encore un autre s’occupait de sa mère elle se calma.
Elles furent toutes deux emmenées à l’hôpital. Les jours de sa mère n’étaient pas comptés. La balle l’avait traversée sans faire de dommages. Une fois la mère rétablie, on les emmena dans un lieu qui leur était inconnu et on les mit au courant de la situation.
Le père de Shu n’était autre que le chef d’un grand groupe pouvant être assimilé à un genre de mafia. Les affaires du groupes étaient tournées vers le trafic d’armes et de drogues. Le meurtre étant une pratique courante, le père de famille et son groupe avaient donc pas mal de chef d’accusation contre eux. Au départ, les agents ne savaient pas si Shu et sa mère étaient complices de cela mais après ce qui s’était passé, il était facile de savoir que ce n’était pas le cas. On leur demanda alors de porter plainte et de témoigner à la cours. Elles ne savaient peut-être pas tout ce qui s’était manigancé sous le toit de leur maison, il n’en restait pas moins qu’on avait essayé de les tuer. Elles le firent… Elles furent confrontées au père, et ce dernier ne se retint pas de leur faire des menaces. Les agents les prenant très au sérieux, il fut proposé à Shu et sa mère de changer d’identité et de lieu de vie ainsi que d’un suivi afin de s’assurer de leur protection.
Toutes deux acceptèrent et la mère de Shu avait déjà en tête le lieu où elles iraient toutes les deux. C’est ainsi qu’elle débarquèrent à Los Angeles ! L’anglais n’était pas une barrière car elles le parlaient couramment. Elles rejoignirent la tante de Shu qui les acceuillit à bras ouvert, nullement au courant de ce qui s’était passé. Elle croyait et croit toujours que le changement de nom de famille des deux femmes avait étaient fait parce qu’elles ne voulaient plus de lien avec le père de famille, ce qui n’est pas faux au final…
Sa tante et sa mère se firent associée et elles embauchèrent Shu comme modèle, d’où parfois ses belles coiffures et ses beaux vêtements. Shu s’inscrivit à California High, faisant d’elle une toute nouvelle dans cette école. Elle n’a pas encore d’amis et pris ses marques dans cette nouvelle vie qu’on lui offrait, mais elle savait que cela ne pouvait que bien se passer et elle comptait bien profiter de cette nouvelle vie !
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